ALAIN VAILLANCOURT : Mes meubles sont mon héritage | Interview
Découvrez dans cette interview inspirante de Alain Vaillancourt pourquoi le bricolage peut devenir votre plus belle héritage ! Chaine youtube d’Alain :https://www.youtube.com/user/lgosseuxdbois
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«Le succès est la somme de petits efforts répétés jour après jour»
Leo Robert Collier
Voici ci-dessous des histoires à succès de trois membres de « bricoleur Malin » Ils nous partagent leur expérience avec le bricolage, leur début, leur progression et leurs succès !!
Histoire à succès de Brigitte
Alors qu’elle manquait de savoir-faire en bricolage, Brigitte nous raconte comment Bricoleur Malin l’a aidé à se perfectionner et à réaliser un nombre de meubles incroyable pour son fils !
Thomas, alors qu’il n’avait jamais bricolé de sa vie, a décidé d’entreprendre les rénovations de son nouvel appartement et notamment de son grand dressing dont il est très fier !
Elle ne se pensait pas capable d’utiliser les outils et encore moins de fabriquer ses propres meubles. Bricoleur Malin lui a apporté de la confiance et lui a ouvert de nouvelles possibilités ! how to get fake id fast
Ben ça dépend… J’aime bien faire les deux. Saviez-vous quela colle à boisétaitplus résistanteque le bois lui-même ? En effet, si on fait l’expérience de coller deux pièces de bois ensemble, et qu’on exerce une force sur cet assemblage jusqu’au point de rupture, on remarquera que ce n’estjamaisl’assemblage lui-même qui cédera mais bien une des deux pièces de bois qui cassera. Alors, je vous l’accorde, on n’a pas tout le temps besoin d’avoir une telle résistance dans nos assemblages et le mode opératoire est plus long et plus salissant que de visser tout simplement nos pièces de bois. Mais on devrait davantageconsidérer cette possibilitéqui nous permettrait notamment de ne plus avoir de tête de vis apparente.
Les différents types de colle à bois
On trouve généralement la colle à boisen biberon ou en bouteille.De couleur blanche ou jaune, elle est complètementindispensablepour le menuisier ou même pour le bricoleur amateur. Mais alors, quelle colle utiliser et dans quelle situation ? On trouve principalement 3 types de colle.
La standard C’est sans hésiter la colle qu’onutilisera le plus. Elle est destinée aux travaux intérieurs et a l’avantage de ne pas séchertrop rapidementce qui nous permet un plus long délai pour la mise en place des serre-joints.Les temps de séchagevarient en fonction des marques, mais grossièrement, on disposede 10 à 15 min pour « mettre sous presse » et on comptera une bonne heure avant de pouvoir continuer à travailler notre assemblage. On patientera24 havant de mettre une trop grosse pression sur nos pièces de bois.
La colle rapide Comme son nom l’indique, elle esttrès rapide.Ce qui peut être un avantage comme un inconvénient. Mais il faut reconnaître que lorsque notre réalisation nécessite plusieurs collages, et que ceux-ci ne sont pas trop complexes, alors elle nous feragagner énormément de temps.
La « waterproof » Cette colle à boisrésiste à l’humidité. Elle est idéale pour réaliser des meubles de salle de bain ou de cuisine par exemple. On pourra aussi l’utiliser pour nosmeubles extérieursà condition qu’ils ne soient pas trop exposés aux intempéries. Pour les cas extrêmes d’exposition à l’eau, on utilisera plutôtune colle polyuréthane.
Bien serrer c’est bien coller
Et oui, la colle à bois n’est efficace que lorsqu’elle pénètrecorrectement dans les pores du bois. Un serrage mécanique est donc nécessaire pour bien presser la colle à l’intérieur de la matière.
Et là,plusieurs solutionss’offrent à nous. On a peut utiliser tout simplementdes serre-joints. A noter que les serre-joints à visser exerceront une meilleure pression que les serre-joints à gâchette.
On peut aussi visser ou clouer. Cette technique convient bien pour les impatients qui n’aiment pas attendre que la colle sèche pour continuer à travailler. Lors des assemblages de panneaux, un cloueur pneumatique est très souvent utilisé.
Et la colle qui dégouline ?
Ce dicton très poétique me fera toujourssourire:« Ce n’est pas la colle qui chie qui colle, mais c’est la colle qui pousse la colle qui chie qui colle » Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’esttotalement vrai. Et en matière de colle, chacun a ses propres habitudes.
Si certains sont très prudents en pressant le biberon, d’autres au contraires adorent l’abondance et ne sont satisfaits que lorsque leur établi ressemble à une marre de colle. Je dirai qu’il faut trouverun juste milieu. Pas assez, c’est pas assez et trop c’est trop ! D’où l’intérêt de l’étaleruniformémentsur toute la surface en une fine pellicule à l’aide d’un pinceau ou d’un petit rouleau où même au doigt pour les petites surfaces. Surtout que la colle qui dégouline, ce n’est pas toujours évident à https://sexlocals.ch enlever et moins il y en a et moins on a de travail.
On peut enlever l’excédent dedifférentes manières. La première consiste à essuyer le surplus avecune éponge humide. Cela marche très bien, mais attention à la finition ! En effet, en diluant de cette manière la colle avec de l’eau, on fait pénétrer la colle dans notre bois et si le ponçage n’est pas soigné, cela va avoir des conséquences sur notre finition. Le vernis, la lasure ou encore l’huile ne teinterontpas de la même manièresur du bois « encollé » que sur du bois sain. Pour la peinture en revanche, cela ne faitaucune différence.
On peut aussi enlever l’excédent de colleau ciseau à boiset à la ponceuse lorsque celle-ci est entièrement sèche (c’est à ce moment-là qu’on apprécie quand il n’y en a pas beaucoup). C’est une bonne solution, mais encore faut-il qu’il n’y aitpas trop de recoinspour pouvoir faire le travail à la ponceuse électrique.
La troisième technique est un petit mixte des deux. On attendral’instant Tpour agir. Ni trop tôt, ni trop tard mais juste au bon moment lorsque la colle commence à sécher mais n’est pas encore totalement dure. (On peut toujours boire un petit café pour patienter). On peut prendre un ciseau à bois ou une spatule pour enlever l’excédentdemi dur.
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Ah la bonne vieille cheville qui menace de s’arracher un peu plus de jour en jour ! Vous la voyez sur la photo de gauche ? Énervant hein !? On y passe tous les jours devant en fermant les yeux, évitant le problème. Et pourtant il faut bien agir, ou votre étagère va finir par se casser la binette !
Mais que faire dans cette situation ? Mettre une cheville plus grosse ? Une vis plus grosse ? Changer de cheville ?
A travers cet article, on va voir ensemble comment mon beau-frère Gaëtan a remédié au problème en changeant ses vielles chevilles branlantes par un scellement chimique pour son support à vélo.
Pourquoi ma cheville ne tient-elle pas ?
Il y a quelques temps de ça, j’ai écrit un article sur les chevilles dans lequel on a vu quelle cheville utiliser et pour quelle situation. Vous pouvez cliquer ici pour aller le consulter.
Alors soyons clairs, il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles une cheville s’arrache. Mais dans 95 % des cas, c’est parce qu’on utilise des chevilles pour matériaux pleins dans des matériaux creux ET qu’on leur demande un effort trop important.
En effet, pour des matériaux creux comme la brique ou le parpaing, on peut très bien mettre des chevilles «standards» pour des poids légers. Pour une petite étagère, un cadre, une horloge, ça fera très bien l’affaire ; mais dès qu’on met un peu plus de poids, on passera alors au niveau supérieur.
Un support à vélo : poids lourd !
Dans le cas de Gaëtan, son support à vélo doit être fermement fixé au mur et doit pouvoir supporter le poids de 5 vélos. Il s’est donc lancé dans le scellement chimique pour remédier au problème. Mais avant ça, il faut enlever les vieilles chevilles !
Le scellement chimique
Le scellement chimique se trouve en cartouche et est constitué de deux produits qui sont gardés séparés à l’intérieur de celle-ci. Lorsque on presse la gâchette, les deux produits se rencontrent et se mélange à l’intérieur d’un bec verseur assez long. C’est à ce moment-là que la magie opère : une fois que les deux produits rentrent en contact l’un avec l’autre, le mélange ne met que quelques minutes pour se transformer en un matériau encore plus dur que le béton!
Le scellement chimique : Etape par étape
Etape 1 : Dépose des anciennes chevilles Euh…on n’a besoin d’aucun outil particulier. On tire et ça vient !
Etape 2 : Reperçage des trous au bon diamètre
Bien évidemment, on ne va pas injecter notre scellement chimique (aussi appelé résine) directement dans la brique creuse. On risquerait d’y passer des cartouches et des cartouches s’il fallait remplir tous les canaux. On injectera le produit dans une grosse cheville percée spéciale appelée : tamis Les tamis étant un peu plus gros, on reperce au bon diamètre avec une mèche béton et une perceuse à percussion.
Etape 3 : Insertion du tamis
Avant d’insérer le tamis, on peut souffler un petit peu dans les trous pour évacuer les poussières. Ça ne sera que mieux pour l’adhésion de la résine sur la brique.
Etape 4 : Préparation du support à vélo
Maintenant que nos trous sont prêts, les tamis insérés, il va falloir préparer le support à vélo prêt à être scellé. Et oui, quand on manipule ce genre de produit, il faut que tout soit bien calculé à l’avance car la résine sèche en quelques minutes et après, c’est trop tard. Gaëtan a choisi de sceller des tiges filetées pour fixer le support à vélo et la manière dont il s’y est pris est très astucieuse ! Il a dans un premier temps boulonné ses tiges sur son support des deux côtés. De cette façon, il est sûr que les tiges sont bien positionnées et il peut même essayer de les introduire dans les tamis à sec pour voir si tout est bien axé. Malin le beau-frère 😉 L’erreur à ne pas commettre dans cette situation serait de sceller une par une les tiges dans les trous et ensuite espérer que tout corresponde avec les trous du support à vélo. https://www.garyshood.com/aussie-casino/ Entre les imprécisions de perçage, et de positionnement de la tige, le résultat est garanti d’être raté à coup sûr !
Etape 5 : Le scellement
C’est clairement la partie la plus délicate, mais si tout est bien préparé à l’avance comme l’a fait Gaëtan, alors ça devrait bien se passer. On injecte de la résine dans les trous en partant du fond du tamis jusqu’à la sortie. Le but étant de faire déborder le plus de produit à travers les petits trous du tamis. La résine qui déborde vient se coller sur toutes les parois de brique qu’elle rencontre à l’intérieur des canaux. Et puis on se lance, il ne reste plus qu’à positionner le support à vélo et attendre que ça sèche.
Etape 6 : On visse et c’est fini ! A partir de cette étape, les tiges filetées sont bien positionnées et scellées mais le support à vélo ne plaque pas contre le mur. Il faut donc dans un premier temps dévisser tous les écrous ; puis par la suite, insérer le support, le plaquer contre le mur, et le visser en n’oubliant pas de mettre la petite rondelle qui va bien 😉
Le scellement chimique : une révolution
Le scellement chimique est vraiment adapté pour ce genre de situation. Quand il n’existait pas encore, le travail était bien plus laborieux. On scellait tout simplement au mortier mais il fallait faire un trou bien plus gros pour arriver au même résultat. Sans compter les temps de séchage qui n’ont rien à voir !
On remercie donc Gaëtan pour avoir partagé son aventure avec le scellement chimique. Ce sera bien utile pour tous ceux qui ont des chevilles boiteuses à la maison 😉
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser dans la zone des commentaires si dessous, j’y répondrai avec plaisir.